Gâteaux d’anniversaire commandé grâce au restaurant la Villa champagniere qui nous a fait découvrir vos talent de pâtissier. C’était juste incroyable tant beau que délicieux, félicitations 💯
Je recommande vraiment
J'étais avec 2 autres personnes pour prendre un café avec un dessert.J'ai pris aussi 4 mannelés à emporter, la vendeuse emballé pour moi sans que je vois, car j'étais à table.À la maison une découverte - 4 mannelés trop grillés, noirs, impossible les manger. Malheureusement je ne peux pas publier une photo ici.
Pâtisserie au top, j’ai choisi des réductions pour mon anniversaire. C’était vraiment très bon, très frais, un vrai régal ♥️♥️ je conseille vivement sans compter la gentillesse incroyable et l’humour du personnel, c’est un incontournable, allez y, vous ne pouvez pas être déçu
Un gâteau d'anniversaire qui hésite entre la Tour de Pise et une boule à facettes… Niveau esthétique, on salue l'audace discobelisquesque, mais côté goût, c'était pas la fête. Disons que pour 22€, on a surtout payé le suspense de savoir s'il allait s'effondrer avant la première bougie !
De passage dans ce beau village, quelle belle découverte que cette boulangerie : pains très beaux, viennoiseries excellentes et accueil très sympathique.
À retenir
Nous avons voulu aller chez mochi mochi avec des amis mais la boutique était malheureusement fermée.
Cependant, le simple fait de miroiter cette délicieuse pâte de riz fondant légèrement sur ma langue était déjà une expérience transcendantale.
Mochi Mochi propose des mochis glacés, je n’ai pas pu en faire l’expérience mais je me contente bien de mochis cristallisés. Le mochi est l’image chaleureuse de l’être aimé projetée par des néons fluo sur une façade poreuse.
Je me plais à imaginer un futur dystopique où le seul réconfort serait un shot d’air pur et un
bar a mochi signalé par une enseigne lumineuse agrégeant artificialité et hospitalité.
J’ouvre les portes mécaniques du bar pour être accueilli par un « Irasshaimase ! » émanant d’un haut parleur grésillant. J’avance au comptoir et une borne légèrement endommagée m’indique une variété de mochis. J’hésite. Je prends pastèque, banane et ananas. Je suis nostalgique de l’époque où ces fruits n’étaient pas que des arômes artificiels vestiges d’un passés d’abondance végétale. Je reprend mes esprits. Je croc : le plaisir est immédiat et amplifié par la multitude d’exhausteurs de goût. J’oublie enfin ce monde d’illusions numériques pour l’espace de quelques micro secondes.