Je viens du var j'avais un petit creux je suis très content d'être rentré dans cette pâtisserie. Jamais je n'ai mangé un flan aussi bon j'ai 70ans le croissant que ma femme a goûté pareil pour elle c'était le meilleur qu'elle ai mangé. Félicitations aux pâtissier
En plein confinement, j’ai dû improviser pour l'anniversaire de mon fils, Charles-Mony, qui a eu 20 ans, le 30 avril 2020. J’ai tout de suite pensé à la boulangerie pâtisserie Pasbecq dont le Chef a réalisé un gâteau d'anniversaire personnalisé et joliment décoré d'un train à vapeur, une pièce artistique et unique, représentant l’objet de sa passion. Merci.
Personnel sympa comme des portes de prison: à partir de la proprietaire (la pire) jusaq'aux stagiaires (probablement l'etre désagreable est un prérequis de base pour y travailler).
Des heures d'atteinte au tel pour les avoir; une histoire infinie pour réserver quoi que ce soit.
Aucunissime gestion agréable du client ni aucune idée de l'organisation: 2 clients dans le magasin suffisent pour que le personnel soit "débordé"
Les sandwichs méga chers avec 1 tranche transparente de jambon ou 2 morceaux de poulet ou 1/10 de feuille de salade.
Assiette de mini gatéaux apéritif à 23euro avec une série de mise en bouche salés dans un état pitoyable.
Qu'avec la clientèle moyenne de Marcq une boulangerie pareil peut encore survivre.
Le pain et bon la viennoiseries un régale surtout les croissants les gâteaux sonts délicieux mais l'accueil un bonjour du bout des lèvres qui donne l'impression de déranger .
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La boulangerie propose des formules sandwich, hors vous arrivez à 12h30,on vous dit pas de baguette qu'en faluche..,plus de jambon,plus de choix de boissons hormis jus d'orange..
De là on découvre une faluche et un emballage qui déborde de thon,2 morceaux de tomate,pas de salade...
Étant client habituel, très déçu..
Plus jamais...
Nous avons voulu aller chez mochi mochi avec des amis mais la boutique était malheureusement fermée.
Cependant, le simple fait de miroiter cette délicieuse pâte de riz fondant légèrement sur ma langue était déjà une expérience transcendantale.
Mochi Mochi propose des mochis glacés, je n’ai pas pu en faire l’expérience mais je me contente bien de mochis cristallisés. Le mochi est l’image chaleureuse de l’être aimé projetée par des néons fluo sur une façade poreuse.
Je me plais à imaginer un futur dystopique où le seul réconfort serait un shot d’air pur et un
bar a mochi signalé par une enseigne lumineuse agrégeant artificialité et hospitalité.
J’ouvre les portes mécaniques du bar pour être accueilli par un « Irasshaimase ! » émanant d’un haut parleur grésillant. J’avance au comptoir et une borne légèrement endommagée m’indique une variété de mochis. J’hésite. Je prends pastèque, banane et ananas. Je suis nostalgique de l’époque où ces fruits n’étaient pas que des arômes artificiels vestiges d’un passés d’abondance végétale. Je reprend mes esprits. Je croc : le plaisir est immédiat et amplifié par la multitude d’exhausteurs de goût. J’oublie enfin ce monde d’illusions numériques pour l’espace de quelques micro secondes.